| | | Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] |  |
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Allan Fredericson
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| Sujet: Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] ![Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Dim 6 Jan - 21:08 | |
| IDENTITE
- >> N0M: Davis Carlson Fredericson
>> PREN0M: Lawrence Marcus Jack Allan
>> AGE: 19 ans
>> DATE & LIEU DE NAISSANCE : Il est le premier bébé de l'année 1987/1988, donc sa date de naissance sera le 1er janvier 1988. Allan est né aux États-Unis, dans l'État de l'Illinois, à Chicago.
>> AVEZ VOUS LU LE REGLEMENT? Oui
PSYCHOLOGIE
Au premier abord, il faut pouvoir admettre ses torts et ses faiblesses si l’on veut pouvoir dire que l’on est fort et courageux. L’orgueil est un péché à l’église. Mais pas la faiblesse. Et il faut savoir qu’avant d’être brave au combat, les soldats avaient peur. Mais, n’est-ce pas la peur qui fait le courage? Car un héros qui n’a jamais peur ne peut être courageux. Le courage se définit comme présent lorsqu’on se dépasse dans une situation différente et qu’on surpasse sa peur pour y faire face. Alors je dirai juste que si l’ont peut qualifier quelqu’un de brave, on peut aussi le qualifier de peureux.
C’est ainsi que l’ont peut décrire Allan en deux mots. Faible et fort à la fois. Courageux et peureux en même temps. Deux faces dans un même corps qui forment ce qu’il est vraiment. Quand il le faut, il sait s’arrêter. Pourtant, il faut parfois l’y aider. Téméraire et aventurier, Allan aime relever des défis, du plus stupide au plus dangereux, nombre de personne ont jurés que c’est ce qui causerait sa mort. Mais Allan n’est pas d’accord. Autrement, il est aussi gentil et attentionné envers les autres. Il a surtout une fâcheuse tendance à ne voir que le bien dans ceux qu’il rencontre, ce qui peut le rendre naïf quelque fois. Déterminé voir obstiné, Allan termine ce qu’il entreprend avec le plus grand soin. Perfectionniste, minutieux, soigné et méticuleux, il fera en sorte que son travail soit au meilleur de son rendement avant de l’Accepter. Il refuse souvent des résultats qui sont pourtant bien plus que très bons. Curieux et attentif, il aime apprendre de nouvelles choses et adore aussi faire de nouvelles rencontres afin d’accentuer son intelligence déjà bien entretenue et fleurie. Allan est un jeune homme que l’on peut aussi dire de violent et impétueux.
Tels les chevaux qu’il dresse, il est fougueux et sauvage. Parfois aussi dur et ferme que le roc, il peut être tout autant déchaîné et hors de contrôle que l’eau d’une rivière dans un orage que doux et soucieux d’autrui qu’un père le serait avec ses enfants. Parlant d’enfants, il n’a jamais vraiment grandit mentalement. Insouciant et jovial, il ne réalise pas toujours l’ampleur d'une situation t aura plutôt tendance à la minimiser pour réduire ses inquiétudes et ses peurs. Quand il le faut, par contre, il sera toujours là pour ceux à qui il fait confiance. Confiance qui, d’ailleurs, est facile à obtenir mais aussi facile à perdre. Comme il a tendance à se sous-estimé, cela fait de lui un jeune homme instable, qui a une estime de soi très pauvre, quoi qu’il s’efforce de garder ce qu’il en reste intact. Ce n’est pas vraiment aisé comme tâche, c’est donc pour cela qu’il se rabat sur le silence. Il n’ouvre pratiquement jamais la bouche. Et encore, seulement lorsque ses paroles sont vraiment requises. Et il prend bien son temps pour réfléchir avant de parler.
Allan est un garçon compliqué, comme les milles et unes facettes d’un miroir que l’on a violement projeté au sol. Il est dans chacun des petits morceaux de verre en sable brisés, craqués, prêts à se fendre mais en même temps forts et prêts à se reconstruire n’importe quand. Voyons maintenant le plus gros morceau de ce miroir brisé qu’est Allan Fredericson. Le premier, c’est sa capacité à tout absorber. Comme une éponge, il encaisse chaque coup, chaque insulte sans broncher. Mais gare à vous si vous faite tomber le bouchon dans la bouteille parce que vous y ave trop mis de pression. Quand son temps est achevé, sa patience épuisée et sa tolérance usée, Allan se montre agressif, violent, nébuleux et très, très méchant. Cruel à ses heures de colère perdues, il sait se montrer dur à un point tel qu’on croirait voir en lui la pierre plutôt qu’un cœur. Détrompez-vous. Il a seulement l’habitude de tout prendre sur son dos, de ne jamais dire non, de peur de vexer quelqu’un, et de n’attendre qu’à la toute dernière minute pour exprimer ses sentiments. Non pas qu’il soit renfermé, tout le contraire, mais ce sont ses sentiments qu’il enferme bien hermétiquement dans son cœur, ne les laissant s’échapper qu’à l’ultime supplice, quand tout ce qui lui passait sur le dos comme l’eau sur celui d’un canard aura détrempé ses plumes jusqu’à ce qu’il ne puisse plus s’envoler deviendra trop lourd il criera, et Dieu sait qu’il le criera fort, il hurlera même jusqu’à ce que son cœur soit vidé. Ainsi, il sera prêt pour une nouvelle ronde. Sachez cependant qu’il en faut vraiment beaucoup pour que son cœur soit plein. Mais ne vous tenez pas sur son passage lorsque le suprême mot sera prononcé, ce ne serait pas bon pour votre vie.
>> VOS 3 QUALITES : Patient, compréhensif, à l’écoute.
>> VOS 3 DEFAUTS: Violent, perfide et sans scrupule.
>> PHYSIQUE : Allan est un jeune homme qu’on peut qualifier d’imposant. À l’âge de 13 ans, il mesurait déjà 1m75. À seize, son état ne s’était pas amélioré. Il ne passait plus dans les chambranles de portes à l’école du haut de son 1m92. Enfin, il a arrêté de grandir. Il fait maintenant 1m96. Quand on le regarde, il pourrait bien faire le travail d’un videur de 20 ans dans un pub. Ses épaules carrées, son torse large mais long, ses jambes fines et musclées en font rêver plus d’une. Malgré tout, ce qui accroche le plus, ce sont ses yeux. Des yeux bleus si pâles qu’on les croirait translucides. Pourtant, dans ses yeux toujours brillant de joie, il y a deux taches. Une dans chaque œil. Cette tache, plus foncée, rehausse l’éclat de ses pommettes assez saillantes, donne un air gamin à son nez légèrement en trompette et emplit son visage à l’air enfantin d’une joie de vivre immanquable. Un sourire heureux orne presque toujours les lèvres pulpeuses et rosée naturellement d’Allan. Beaucoup lui disent qu’il a des lèvres de fille et il s’en réjouit. Ce sourire crée de mignonnes petites fossettes au coin de ses joues et son menton carré donne à sa mâchoire des airs forts et méchants. Malgré tout, son visage semble taillé dans la pierre lorsqu’il est sérieux. Sa peau blanche même avec les années de travail au soleil va de mise avec ses cheveux courts et bruns châtains qu’il aime à relever par en avant pour se donner un style amusant. Lorsque décoiffé, Allan ressemble à un petit rebelle, ce à quoi il ressemble donc le plus souvent puisque la coiffure, ce n’est pas son fort.
Son torse séduisant où se découpent avec suffisance des muscles saillants est fort et ferme, prêt à accueillir la tristesse, la détresse et le désespoir du monde. Ses épaules carrées, dites bâties comme «une armoire à glace», sont fortes et habituées à prendre de lourdes charges. Des bras protecteurs et musclés comme ceux d'un haltérophile sont aussi le refuge des femmes qu’Allan rencontre sur son chemin et qui sont triste, perdue ou désespérées. Protecteurs et sécuritaires, ils savent réconforter mieux que les mots. Sa mère disait qu’il était son Adonis en marbre blanc. Il faut donc savoir qu’Adonis était le dieu grec de la beauté et de la force.
Dernière édition par le Ven 11 Jan - 15:32, édité 2 fois | |
| | | | Allan Fredericson
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| | Sujet: Re: Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] Dim 6 Jan - 21:13 | |
| >> STORY:
Avant de vous raconter l’histoire d’Allan, il faut savoir comment il est arrivé. Lawrence Fredericson Davis Senior, réputé médecin, bénévole à la Croix-Rouge et porte-parole de la fondation de recherches sur le cancer de la peau SCA, Skin Cancer Association, a rencontré sa future épouse, Aveelaj Shanckiuann, lors d’un voyage en Afrique, au Niger, alors qu’un ouragan venait de s’abattre sur la ville de Niamey. En tant que bénévole pour la Croix-Rouge et médecin de renommée mondiale, Lawrence fut déporté sur les lieux du drame. En y arrivant, il vit le massacre. Des tas de pauvres gens avaient été emportés d’urgence dans la maison du dirigeant de la ville et y étaient littéralement entreposés. Puis, il avait entendu sa voix, qui parlait en néerlandais, ou quelque chose comme cela. Lawrence demanda à d’autres personnes de venir voir. Le fils de la femme était prit sous un arbre, le tronc presque sectionné, il hurlait de douleur. Ils leur fallu plus de trois heures, aux médecins, pour arriver à déprendre le jeune homme de sous l’arbre. Malheureusement, le fils était mort d’hémorragie interne quelques minutes avant la fin de cette opération. Ainsi commença la relation entre Aveelaj Shanckiuann et Lawrence Fredericson Davis Senior.
Après huit longs mois au Niger pour aider les familles effondrées et aussi aider les blessés et les sinistrés, Lawrence fut enfin prêt à retourner chez lui, dans l’Illinois. Pourtant, tout au long de ce périple, il avait réussis à se rapprocher d’Aveelaj, non seulement pour l’aider mais aussi parce qu’elle était magnifique et tellement seule maintenant que son fils, son dernier, était partit. Plus tard, il apprit qu’elle n’avait que 18 ans, lui qui en avait 25, mais avait déjà eu quatre fils. C’était à se demander à quel âge elle avait eu le premier. Toutefois, cela n’enlevait rien à celle qu’il aimait depuis bientôt un an. Alors avant son départ, il fit la promesse à la jeune femme de revenir la rechercher bientôt. Pendant ensuite deux ans, Lawrence se concentra sur le terrain que lui avait légué son père à sa mort. Il y construisit une maison de trois étages somptueuse et magique, pour y accueillir la ribambelle de gamins qu’ils projetaient d’avoir ensemble. Enfin, le 9 mai 1983, Lawrence Fredericson Davis Senior était dans l’avion qui le porterait vers Niamey, là où l’attendait sa future épouse, Aveelaj. Tout était prêt, à Chicago, la maison, le mariage, la cérémonie et aussi leur Lune de miel, qu’ils passeraient ici, à Niamey.
Donc, mariée à 20 ans, un peu tard pour les jeunes femmes d’Afrique, mais mariée tout de même, Aveelaj s’envola avec son fiancé vers sa nouvelle terre. À 27 ans, Lawrence avait un succès immense en tant que chirurgien cardiaque. Mais cela voulait aussi dire peu de temps pour sa femme et leur premier enfant, Aeryn. Alors Lawrence fit une croix sur la cardiologie et se vit offrir un poste à mi-temps, qui rapportait presque autant que son ancien poste, plus près de chez lui, comme cancérologue. Avec ses quatre doctorats en médecine, un en cancérologie, un en cardiologie, un en chirurgie et le dernier en médecine douce, Lawrence était très désiré par les hôpitaux. Avec ce nouveau poste, il passait plus de temps à la maison et voyait ainsi aussi son nouveau bébé, encore dans le ventre de sa mère, grandir à vue d’œil. Bref, tout roulait pour le mieux. Ce n’est que 2 et 3 mois plus tard qu’Aveelaj su qu’elle attendait sa première paire de bébés. Neuf mois plus tard, deux magnifiques têtes châtaines étaient posées avec douceur dans les bras de la mère, émue. Ses autres enfants, Aeryn 4 ans, Marcus 2 ans et Alycia, 1 an, étaient là et admiraient eux aussi leurs nouveau petits frères, mais certainement pas les derniers. Allan grandit ensuite normalement.
Ici commence alors son enfance.
Vivant sur les terres de ses parents avec ses frères et sœurs et leurs chevaux magnifiques dans la cour, Allan, 2 ans, était un petit bout de chou brillant et espiègle. Malheureusement, comme le destin se donne un malin plaisir à briser le bonheur d’une si jolie famille comme la sienne, on diagnostiqua chez Allan une maladie dégénérative qui le tuerait probablement à 30 ans, sinon moins à l’âge de 5 ans, alors qu’il venait de faire une chute de balançoire, dans leur cour. L’emmenant d’urgence à l’hôpital, c’est là que les médecins découvrirent le problème.
Défaillance cardiaque. Le cœur du pauvre petit garçon était inégal. En l’auscultant pour prendre son pouls et entendre ses poumons, le médecin avait décelé une défaillance. Le cœur d’Allan battait un battement de trop, provoquant des quintes de toux, de l’essoufflement pour rien, de l’asthme et, à plus long terme, la mort par arrêt cardiaque ou crise de cœur. Destin bien tragique pour un petit enfant aussi charmant. Malgré tout, Allan garda espoir. Pendant encore deux ans, la défaillance se montra bénigne, le cœur du jeune garçon battait parfois bien parfois mal, alors on ne fit qu’un traitement préventif et à longues intervalles. Mais, lorsqu’il entra au lycée, les problèmes commencèrent réellement. Cela se produisit six ans plus tard, à l’âge de 11 ans.
Ainsi commence son adolescence.
Bien sagement assis en classe, Allan écouta son professeur parler de comment le Boston Tea Party était devenue un événement important pour la ville de Boston quand un pincement au cœur lui arracha une petite grimace de douleur. Un pacemaker lui avait été posé, deux mois plus tôt, par mesure de sécurité suite à un accident de tracteur où il avait violement été projeté sur le volant, écrasant sa cage thoracique. Enfin, il s’en était sortit et avait put réintégrer les cours la semaine après. Ne se préoccupant de ce léger pincement, Allan se concentra sur les explications du professeur. Puis, un nouveau pincement, plus fort celui-ci, lui fit reprendre sa grimace. Mais cette fois-ci, elle fut accompagnée d’un gémissement plaintif qui se fit retourner quelques personnes. Plié en deux, de nouveau pincement assaillirent son cœur. Cette fois, il n’en pouvait plus. Tombant de sa chaise, Allan s’Agrippa la poitrine à deux mains, en gémissant très fort, puis, crispé, il sentit des mains se poser sur lui. Le professeur. Ses yeux eurent à peine le temps d’entrevoir son visage qu’ils se refermaient. Le pacemaker envoya des chocs à son cœur pour le faire redémarrer. Finalement, après un massage cardiaque et les chocs répétitifs et de plus en plus fort envoyé sur son cœur directement, Allan refit surface. Il était encore dans la classe, mais au lieu de trouver le professeur penché sur lui, il vit un ambulancier, une civière était à côté de lui. Combien de temps était-il resté dans els vapes? Après sa réanimations, les ambulanciers, a priori la depuis peu, le hissèrent sur la civière.
Un petit voyage en ambulance, mon grand? Bien sûr! Allan se retrouva à l’hôpital dix minutes plus tard. Il fut transporté aux soins intensifs trente minutes plus tard, immédiatement après que le médecin qui le suivait eu prévenu ses parents et examiné son patient qu’il ne connaissait que, malheureusement, trop bien. Plus tard, on lui dit qu’il avait été très chanceux. Il avait passé à un poil d’y laisser sa peau. Les massages cardiaques ininterrompus du professeur et les attaques électriques de son pacemaker lui avaient sauvés la vie. Ouf! Hors de danger, Allan fut cependant confiné à la maison pendant deux semaines. C’est pendant ce laps de temps, quand sa mère le lui permettait, qu’il allait voir les chevaux et en apprenaient toujours un peu plus. Le médecin, lorsqu’il apprit qu’Allan aimait ces animaux bénéfiques, recommanda à Lawrence et sa femme de faire faire de l’équitation plus souvent à leur fils afin que son cœur se solidifie. Il avait été prouvé que l’activité et les efforts que demandait l'équitation équivalaient à un entrainement cardio-vasculaire puisqu’il fallait savoir contrôler son souffle et demandait aussi beaucoup de concentration et d’énergie malgré ce que l’on peut croire.
Alors Allan commença l’équitation. Au début, il était plutôt effrayé à l’idée de monter ces bêtes imposantes mais non moins majestueuse. Il révéla un talent inné avec les chevaux sur la selle tantôt d’obstacle tantôt de dressage et tantôt de western. Finalement, Allan, si bon et doué, se vit accorder le droit de manquer deux jours par semaine l’école, pendant toute une journée, pour travailler à la ferme familiale comme les grands et monter. À cette époque, il avait 14 ans, soit trois ans après l’incident dans la classe. Il s’améliora et, si bien et bon qu’il fut, son problème cardiaque se résorba un peu, son cœur se fortifiant avec les exercices que les médecins lui donnait et l’équitation qu’il pratiquait. Finalement, Allan eu l'autorisation de partir de la maison. C'est alors qu'il entendit aprler de ce centre, Training Helps. En creusant un peu, il put trouver un formulaire d'inscription. Le voici donc ici, à THC, prêt à se démarquer pour l'amour des chevaux. T0N PERS0NNAGE
- >> METIER VOULU: Professeur d’Endurance Entente monture/cavalier
>> METIER VOULU :
>> RUE DE RESIDENCE VOULUE: Burnette Drive
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| | | | Allan Fredericson
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| | Sujet: Re: Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] Dim 6 Jan - 21:13 | |
| TOI EN QUELQUES MOTS
- >> PREN0M/PSEUD0: Bianca/Scooby & Who
>> AGE: 14 ans.
>> AVATAR ? Matt Damon.
>> NOTE DU DESIGN SUR 20: 20.
>> COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM? TH niwi.
>> SUGGESTIONS/AUTRES: J’suis de retour, j’ai eu quelque problème de connections Internet.
>> CODE DU FORUM: 1 :* 2 : THC
MAINTENANT ... AU TOUR DE L'EVALUATION
Alejandro avait revêtu un pantalon d’équitation noir avec une chemise blanche surmontée, elle, d’un gilet de protection gris pour monter, car aujourd’hui, ils allaient travailler sur les appuyers et les diagonales, alors il lui faudrait être protégé adéquatement. Pourquoi? Parce qu’il commençait à connaître les réactions de sa jument et qu’il savait qu’elle détestait croiser les membres, alors il se savait plus en sécurité avec sa bombe standard et son gilet de protection lorsqu’elle tenterait de l’embarquer ou de faire des sauts de moutons. Bref, la menant calmement par les rênes au sol, il roula des yeux exaspérés quand elle lui lança un énième coup de nez sur l’épaule. C’est que malgré la finesse de ses naseaux, son os nasal était dur (normal, non?) et quand il cognait sur son os d’épaule, ça n’était pas très agréable, surtout qu’elle n’y allait pas de main morte! Enfin, le jeune couple arriva devant le manège olympique. Alejandro fit entrer sa jument à l’intérieur. Cette dernière, ne le connaissant qu’à la longe ou en liberté, s’étonnait en ronflant doucement et en pointant les oreilles d’avoir une selle sur le dos pour y venir. Ne se souciant pas trop de cela, le jeune homme sangla avant poser un pied dans l’étrier pour se hisser en selle avec la légèreté d’une souris, et de s’asseoir doucement dans son siège, chaussant l’étrier droit. Une fois qu’il eût vérifié toute ses aides; enfiler ses gants, ajuster ses étriers, raccourcir un peu ses rênes et se mettre en place correctement, Alejandro demanda le pas avec une légère pression de mollet et la voix.
Angie se concentra à la prise de contact dans sa bouche quand Alejandro raccourcis ses rênes. Les oreilles mobiles comme des puces, elle se mit au pas doucement et sentit que son cavalier était détendu, alors, au bout d’un petit moment, la jeune jument fit de même en abaissant la tête, décontractant du coup son dos et sa croupe. Alejandro ne voulait pas presser Poussière car il faisait froid dehors, aussi, quand elle baissa le nez, il esquissa un sourire satisfait. Jusque là, tout se passait très bien. Marchant pendant vingt minutes afin que les membres protégés des guêtres avant et arrières fermées récemment achetées puissent s’étirer et se réchauffer, Alejandro pensa à comment il ferait pour la faire travailler adéquatement sans trop la fatiguer ni trop la laisser sur son impression. Bref, il effectua un changement bien simple afin de faire marcher Poussière dans l’autre direction et, ainsi, prendre contact définitivement avec sa bouche. Pour tourner, il ouvrit un corridor de direction à droite, prenant la rêne intérieur, la rêne d’opposition, il étira le bras vers l’intérieur en s’assurant de garder ses mains égales. La jument suivit le mouvement des rênes sur son encolure et fit une demi-volte parfaite.
À l’écoute mais toujours prête à faire un mauvais coup, Angie fit la volte, mais releva la tête vivement, cassant le contact en tirant d’un coup sec sur son mors. La jument commença à marcher rapidement, trop rapidement pour l’instant, la tête haute et les naseaux frémissants, commençant son éternel numéro de la jument nerveuse. Mais, calmée d’une main ferme par Alejandro qui reprit contact immédiatement après l’incident, elle se replaça et reprit un rythme normal de marche, décontractant après seulement plusieurs minutes son dos en rebaissant la tête lentement, prête à reculer son initiative s’il opposait la plus minime traction. Mais non, heureusement, et Poussière décontracta lentement au pas, rênes assez longues. Les oreilles mobiles et le souffle normal, elle marchait sans se presser mais gardait l’allure que lui soutenait son cavalier. Ce dernier, dans une position équilibrée, avec un rapport talon, hanche, oreille parfait, regardait droit devant lui en préparant sa transition au trot enlevé. Une fois prêt, il resserra légèrement ses mollets, émit un encouragement vocal et puis demanda fermement le trot avec des mots, avançant un peu ses mains pour laisser aller le mouvement. La tête relevée, Angie donna une faible secousse et démarra au trot vivement, les naseaux vrombissant d’excitation pendant quelques instants. Doucement, Alejandro la ramena sur la piste avec sa jambe intérieure, insufflant un léger mouvement de vague vers l’extérieur pour qu’elle se remette en place. Trottant avec une foulée légère et régulière, Poussière réagissait au contact des jambes de son cavalier et se déplaça lentement vers les murs, reprenant finalement la piste que le jeune homme voulait qu’elle prenne. Alejandro, quant à lui, avait fermement refermé ses doigts autour de ses rênes, rompant le contact par intermittences pour laisser sa monture trotter à son aise, mais comme il ne fallait pas qu’elle oublie qu’elle portait un cavalier, la reprise de contact, très brève et douce, était nécessaire. Aujourd’hui, ils ne galoperaient pas, ou alors juste à la fin, donc, il fallait réchauffer considérablement la jument avant de la faire travailler pour de vrai. C’est aussi pour ces même raisons qu’Alejandro garda un rythme de trot soutenu pendant dix minutes avant de demander une transition au pas, se callant dans sa selle en fixant la jambe, il laissa aller son bassin et émit sa commande vocale. Comme Poussière semblait vouloir continuer de trotter, il prit un contact plus présent dans sa bouche en mettant une traction pourtant infime dans les rênes qui stoppa net la foulée de trot. Sans avoir bougé ni les jambes ni l’assiette, Alejandro se retrouva jeté vers l’avant. Comme il avait la bonne position, ce ne fût pas un problème, il se retrouva juste à celle qu’il voulait adopter. Bref, de nouveau au pas, Poussière étira le cou en tirant sur ses rênes et soupira de désespoir. Elle commençait à peine à trotter.
Ce n’était pas cette longue respiration, signalant le début d’une reprise de souffle normal, qui allait émouvoir l’espagnol. Laissant filer quelques centimètres de rênes, il se pencha en avant pour caresser l’encolure musclée de sa jeunesse à sabots et se redressa en reprenant une position académique. Il fit une demi-volte très large, dirigeant un peu mollement sa jument pour changer de main encore une fois afin qu’ils puissent trotter dans l’autre sens. Une fois revenu en main gauche, Alejandro se prépara pour repartir au trot enlevé. Ses aides en places, jambes, mains et corps, il demanda le trot d’une pression de mollet et d’un commandement vocal. Réussis! Peut-être bien que c’était gagné pour les départs au trot? Si elle pouvait lui faire cette faveur, Alejandro n’en serait que plus motivé à lui faire faire ses appuyers. Bref, passons. Alejandro garda sa diagonale de trot enlevé durant les autres quinze minutes qui ponctuèrent ses foulées de trot. Il fallait bien égaliser le travail des épaules. La jument, réceptive aux aides de son cavalier, trottait avec autant de joie et de légèreté qu’en main droite. Appréciant le vent frais qui volait doucement dans ses crins, lui insufflait un souffle assez court et rapide même au trot, Poussière poussa un peu plus son allure en descendant le manège. Levant son assiette de la selle quand l’épaule extérieure de sa jument se soulevait, Alejandro aussi appréciait l’air qui faisait rosir ses joues et ses oreilles. Puis, quand les quinze minutes passèrent, le jeune cavalier fit une nouvelle transition descendante réussie. Au pas, il prit ses rênes à une main et releva le bas de sa manche pour voir l’heure. Bien, cela faisait maintenant 50 minutes qu’ils se réchauffaient, ça devait être assez pour aujourd’hui. Commence alors le vrai travail. Ils en auraient pour environ trente minute de travail. Pour lui, c’était un bon rapport échauffement/travail. Préconisant les longues détentes et les entraînements intensifs plutôt que le contraire, Alejandro savait que les détentes augmentaient l’attention des chevaux en même temps de leur donner le petit regain d’énergie qu’il leur fallait pour s’entraîner. Ensuite, pendant l’entraînement qui ne devait pas durer plus du ¾ de la détente, la monture était pleine d’énergie et faisait tout ce qu’on lui demandait. Bref, Alejandro s’arrêta dans un con du manège, à la lettre A et prépara ses aides pour son premier appuyer. Ça n’allait pas être tâche facile car déjà, il sentait les muscles bandés de Poussière qui roulaient sous la robe alezane, sa tête se releva et elle coucha les oreilles par à-coups, les bougeant dans d’autres sens entre-temps.
Pour commencer, il fit une pression de la jambe droite, ayant préalablement raccourcis ses rênes pour avoir un contact ferme et bien présent avec sa jument. Cette dernière partit en pas de côtés vifs et mal fait, alors Alejandro bloqua l’épaule gauche avec sa rêne d’opposition, celle de gauche, en avançant ses mains pour qu’elle aille plus vers l’avant. La jument alla bien vers l’avant, mais commença alors à marcher en ligne droite. Alejandro reprit le contrôle en bloquant l’épaule encore une fois, faisant comme un mouvement de vague, on bloque on revient en rênes directes, bloque, rênes directes, etc., pour finalement amener sa monture à insuffler un mouvement. Bon, maintenant, elle allait bien en diagonale, mais Alejandro savait que les postérieurs traînaient, alors il régularisa avec sa rêne régulatrice, celle de droite, et bloqua l’épaule avec la rêne d’opposition afin de remonter l’arrière-main. Manœuvre réussie, mais un autre problème venait : La jument ne faisait qu’ouvrir et refermer les membres, elle ne croisait pas.
Comment contrer ce problème majeur? Avec des exercices de pivots. Pourquoi des pivots quand on veut faire des appuyers? Parce qu’une fois que la monture a compris les pivots en croisant parfaitement, les appuyers seront plus faciles à faire faire car ils demandent moins de précisons mais plus de savoir par-cœur. Alors, Alejandro ramena Angie en main droite et l’arrêta au centre. Préparant sa position à faire des pivots, jambes, mains et corps, il ferma les yeux un instant et prit une grande inspiration.
Il commença par faire des pivots sur les antérieurs. Pour cela, Alejandro fit une pression de la jambe gauche, voulant aller à droite, et bloqua légèrement l’épaule droite pour fixer les membres antérieurs. Angie commença de tourner, mais Alejandro la fit s’arrêter pour qu’elle croise bien comme il le fallait, un pas à la fois. Le pivot fût un peu désastreux, car c’était le premier, mais, néanmoins, la jument avait croisée et fixé les membres voulus. Quelques écarts obligés car la perfection n’existe pas, mais ceux-ci serait très vite résolus grâce à la pratique. C’est donc dans ce but précis qu’Alejandro répéta la manœuvre plusieurs fois, toujours par contre en changeant de côté. Une fois à gauche, une fois à droite. Si bien que, au bout de soupirs désespérés incomptables, d’aplatissements d’oreilles furieux et de claquement de dents vivement réprimandés, donc tout ça faisant un beau total de dix minutes de pivots postérieurs, Poussière avait assimilé le croisement des membres. Pour vérifier, Alejandro en fit deux dernier, un de chaque côté, sans s’arrêter. La jument fixa les antérieurs et déplaça à merveille les postérieurs, croisant méthodiquement. Bien! Maintenant, il lui restait la tâche de faire des pivots antérieurs. Car, en appuyer, les antérieurs et les postérieurs croisaient tout deux, donc il fallait bien qu’Angie apprenne à faire les deux séparément avant de les faire ensemble. Bref, le jeune hispanique un peu en sueur de tant de travail, plaça ses aides correctement une fois la jument revenue au centre du manège, lui caressa l’encolure tendrement pour le féliciter et regarda droit devant lui.
Afin de réussir un pivot antérieur, il lui fallait déplacer légèrement l’épaule gauche pour aller à droite, mais sans brusquer le nez qui ferait courber l’encolure et déplacer les postérieurs. Jouant du talon gauche, il bloqua le bassin et fit une pression de mollet pour faire pivoter sa monture. Par un quelconque miracle, Poussière tourna sur ses antérieurs. Le nez à la bonne hauteur, ni trop rentré ni trop sortit, un peu plus bas que les mains d’Alejandro, elle effectua un magnifique pivot sur les antérieurs. Fier d’elle et jubilant, Alejandro se pencha et caressa longuement sa belle monture alezane en souriant, la félicitant de la voix chaleureusement. De nouveau en position pour faire des appuyers, le jeune hispanique se concentra, fermant un instant les yeux. Puis, sa jambe extérieure commença à exercer une pression dans les flancs de la jument. Le dos droit mais pas bloqué, Alejandro sentit alors un mouvement d’épaule. Bien. Poussière se déplaçait, c’était un début. Lentement, il décala ses mains pour faire un mouvement de vague afin que sa monture garde son impulsion. Sa jambe faisait son travail, donnant de la pression égale tandis que celle de l’intérieure restait fixe, collée contre sa jument. Croisant des pas imprécis, Poussière n’arrivait plus à se soustraire du contact constant mais doux dans sa bouche. Bien encadrée, elle effectua son appuyer avec la souplesse et la grâce demandée par son cavalier qui la guidait fermement sans pour autant être dur ou brusque avec ses demandes.
Une fois qu’ils furent rendus dans l’autre coin du manège afin de changer de main, Alejandro fit s’arrêter sa monture et regarda les traces qu’elle avait faites. Ouah! Il était impressionné mais surtout aussi immensément fier d’elle. Alors, il décida d’en finir là pour aujourd’hui. Ils reviendraient dans deux jours pour reprendre cet exercice. Demain, il prévoyait la faire travailler un peu, doucement, en longe pour la laisser se reposer. Elle avait beaucoup travaillé aujourd’hui et une journée de congé ne lui serait pas de refus. L’espagnol mit pied à terre doucement, sans heurter le dos d sa monture avec une surcharge d’un côté. Agile, il dessangla de deux trous et fit marcher Poussière pendant dix minutes en main afin de la laisser sécher un peu. Puis, il la conduisit jusqu’à l’écurie. Là-bas il dessella au complet et appliqua des bandes de repos à ses antérieurs pour les soutenir. La rentrant sans encombre, il lui donna un bout de carotte et la laissa avec son foin. Le sourire aux lèvres, il sortit du box et essuya son front en sueur. Ramassant son matériel, il le rangea et s’en retourna dans son dortoir pour prendre une douche et aller faire son travail de palefrenier.
Dernière édition par le Dim 6 Jan - 21:20, édité 1 fois | |
| | | | Lily James
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| | | | | Allan Fredericson
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| | Sujet: Re: Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] Dim 6 Jan - 21:22 | |
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| | | | Allan Fredericson
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| | Sujet: Re: Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] Mer 9 Jan - 16:03 | |
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| | | | Brooke Shelton
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| | Sujet: Re: Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] Mer 9 Jan - 23:50 | |
| Non lol Mais c'est plutot calme ses derniers Jours  | |
| | | | Allan Fredericson
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| | Sujet: Re: Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] Jeu 10 Jan - 16:22 | |
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| | | | Brooke Shelton
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| | Sujet: Re: Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] Jeu 10 Jan - 23:57 | |
| xD En plus, je crois qu'il y a 5 présentation à valider... C'est long comme ton as dis! -» ![Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] 597816](/users/3015/89/61/72/smiles/597816.gif) | |
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| | Sujet: Re: Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] Ven 11 Jan - 21:04 | |
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| | | | Emma Chandelle
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| | Sujet: Re: Allan Fredericson [ Ok - Rank One ] Sam 12 Jan - 11:08 | |
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